 | Monsieur André GOUPIL Chère Marthe, cher Vincent, cher François, chère Fanny, cher Pierre, et aussi chère maman,
Je vous adresse ces mots le cœur lourd, en pensant à André, mon parrain, qui a été une présence précieuse et constante tout au long de ma vie.
Il était là pour chacun des moments importants, avec sa discrétion bienveillante, son regard toujours attentif, et ses conseils qui tombaient toujours juste, comme une boussole tranquille. Il n’avait pas besoin d’en faire trop pour qu’on se sente soutenu. Il était simplement là, et c’était immense.
Je me souviendrai toujours de son humour presque timide – un humour qui surprenait, qui faisait rire avec finesse. Et ce rire… ce rire si particulier, où l’on entendait encore l’enfant espiègle qu’il avait dû être.
Il me manque déjà profondément, mais je sais qu’une part de lui vit dans tout ce qu’il m’a transmis — dans ses mots, dans sa manière d’être, dans les valeurs qu’il incarnait sans jamais les imposer.
Je pense très fort à vous, et je vous serre affectueusement dans mes pensées.
Avec toute mon affection,
Nathalie
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