 | Madame Christiane DELTROY D'abord, on l'apprend, Puis, après, on comprend. Le monde s'écroule en un instant, Comme le souffle du vent. Ensuite, on pleure, S'abat soudainement le malheur, Un silence en témoigne, de l'absence qui l’accompagne. C'est une tornade d'émotion, une peine en tourbillon. C'est une gifle de la vie, une gifle pour la vie. Le temps fera son ouvrage, sans jamais tourner la page. C'est une souffrance imposée, qu’on apprend juste à supporter. La perte est grande. Le deuil n'est qu'un mot, qui n'a pas la bonne définition. On ne fait pas un deuil, on se retrouve seulement soudainement seul. Ce soir, les étoiles brillent tellement fortes, malheureusement tu en fait à présent partie. Moi j’ai perdu ma mamie, mon père et mon oncle avec un goût amer ont perdu leur mère… Mes sincères condoléances. Repose en paix, espérant que tes souffrances s’apaisent. Ta petite fille qui pensera toujours à toi…
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